Wednesday, April 24, 2013

Watch me #5: Hemlock Grove

Si je pouvais mettre un sous-titre, je dirais "What the fucking fuck" ou un truc comme ça.


Avant de commencer la série, j'ai vu deux choses. Déjà, l'affiche ci-dessus (coolitude +100), ensuite, Eli Roth. Dans ma tête, ça a été super rapide, je suis un peu devenue tarée et j'ai attendu, attendu, attendu. Aujourd'hui, j'ai enfin vu les trois premiers épisodes, et bah OUAIS.

Déjà, cette série a une particularité assez importante. Il y a 13 épisodes, qui ont TOUS été balancés en même temps sur le site de Netflix. Comme ça c'est un peu comme tu veux, si tu préfères tout t'envoyer en une fois (mon cerveau me dit non), ou si tu veux te garder un peu de suspense par semaine (ce qui va probablement être mon cas).

Du coup, je me sens obligée d'en parler.
Ça va être encore plus bordélique que d'habitude car je ne sais pas si j'aime cette série ou pas. Je ne sais pas si c'est une bonne série ou un navet. Je sais rien et ça m'énerve.

En tout cas, Hemlock Grove n'est pas à mettre entre toutes les mains. J'ai vu le premier épisode, j'étais déçue, teeeellement déçue. Bon okay, y'a une ambiance particulière, un contexte, une mythologie vue un million de fois mais cette fois-ci c'est un peu différent, des acteurs pas trop dégueu à regarder et attirants psychologiquement. Mais on apprend rien. Quand je dis rien, c'est rien. On comprends pas. J'ai rien calé au premier épisode, mais j'ai eu envie de continuer pour ce soir, histoire de me faire une opinion un peu plus tranchée que "hein ? ah ? oh ? Ok...".

Déjà, permettez moi de vous dire que Stellan Skarsgard a fait bien trop d'enfants trop cool. On l'a lui déjà, approximativement partout, et puis son premier fils, Alexander (Eric dans True Blood hein pour ceux qui sont très très loin), Gustaf (le génial Floki dans Vikings) et maintenant Bill, qui ressemble un peu à un Tate raté dans Hemlock Grove. Ah et y'a aussi Jean Grey / Phoenix de X-Men. Et du cul aussi, mais on voit rarement les choses, ça se passe surtout dans des coins exigus (j'ai des crampes rien que d'y penser), et c'est hyper bruyant (et parfois un peu dégueu mais c'est une question de goût) (ohohoh).

On a le pitch: dans une petite ville des stazunis (Hemlock Grove, Pennsylvanie) (quand j'étais jeune, je confondais Pennsylvanie et Transylvanie) (d'ailleurs je suis intimement persuadée que cet état n'a pas été choisi par hasard justement à cause de son nom), y'a une meuf qui se fait manger, tout le monde est au taquet car on a un *animal sauvage* dans les parages. Mais si tu n'en es pas à ta première série ou film fantastique, tu sais très bien ce que meurtre fait par un animal veut dire (t'as pas énormément de choix mais au moins tu sais vers quoi te diriger).
Didonc, que de rebondissements, en plus ça correspond comme de par hasard à l'arrivée d'un nouveau dans la ville, un gitan, qui vole, qui porte du cuir et des jeans troués, qui a les cheveux longs et une barbe et un air rebelle au grand cœur mais qui cache quelque chose profondément. ON SE DEMANDE BIEN CE QU'IL SE PASSE HEIN.
Ah et putain y'a aussi un personne tellement insupportable, presque pire que Joffrey. Vous allez LA repérer assez rapidement je pense.

L'intrigue n'est pas forcément hyper bien ficelée, les personnages sont pas super profonds, des fois il se passe des trucs complètement wtf comme ce qu'on pourrait retrouver dans True Blood ou American Horror Story, MAIS cette série a un truc indéniable. Ne pas se laisser berner par le pilote chiant comme la mort, et continuer si les petites touches de bon gore ne dérange pas. Et en fait, je sais pas, j'ai vraiment envie d'en savoir plus sur les mythologies de la série, et jusqu'où elle peut aller.
Enfin, je préfère prévenir: ne mangez pas devant l'épisode 2, surtout la fin. Ni avant ni après d'ailleurs.
De rien.

ALO UI CER HUMOUR.

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