En fait au début je voulais raconter ce séminaire mais finalement je ne vais pas le faire. Parce que c'est pas un truc universel, que ça n'engage que moi, et puis au final on s'en fout un peu. Du coup, place aux photos !
Day One.
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Stock de tissus chez Cinzia Rocca (entreprise de manteaux pour vieilles haut de gamme). |
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Les pauvres. |
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En attente de la livraison. |
Day Two.
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Dans les archives de l'entreprise Ratti - impression sur soie. |
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Avant coloration, tissage des foulards LV. |
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Chaque truc bleu correspond à une couleur d'un motif, qui vont être superposé jusqu'à obtenir le motif final voulu. Ils ne sont tirés qu'en un seul exemplaire, de sorte que lorsqu'une marque souhaite arrêter un motif en particulier, il est détruit et ne sera pas copié (dans les règles de l'art quoi). |
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Showroom de MF1, production d'article en maille pour (notamment) les maisons du groupe PPR. |
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Un petit Cosmo au Corso Como Café, histoire d'être une hipster une fois dans ma vie. |
Day Three.
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Les chaussures que porte Bella (Twilight) à son mariage - sous-traitant en grande partie de Manolo Blahnik. |
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Alexander McQueen a été stagiaire ici durant sa scolarité à la St Martin's School. Il y a créée sa première collection de chaussures. |
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On sait toujours pas où c'est mais c'est beau (je me demande si c'est pas un des châteaux des Sforza (merci Assassin's Creed)). |
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Alexander McQueen au musée de la chaussure. Le créateur du musée le considère comme un des plus grand artiste de sa génération, entre autre parce qu'il créait les chaussures directement, sans patron, formes ni rien. |
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Minna Parikka. |
Day Four.
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Chez Borsalino. Vous saviez que le feutre des chapeaux c'était à la base du lapin ? Enfin, c'est toujours le cas chez eux. |
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Les machines utilisées pour séparer les poils des peaux de lapins ont plus de 150 ans, ce sont celles utilisées par Borsalino himself. |
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Il y a encore beaucoup d'étapes réalisées à la main. |
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Quasiment toutes les machines - supports - méthodes sont d'époque. |
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Une des méthodes pour feutrer le chapeau. |
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Petite pause sur l'autoroute, entre les Alpes françaises et italiennes. |
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Entreprise Cerruti (les tissus, pas les costumes, même si à la base tout était réuni). |
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Les archives Cerruti, qui contiennent tous les tissus utilisés par an, ainsi que la formule afin de pouvoir les reproduire. Par exemple, en ce moment, ils produisent des tissus créée initialement en 1903. |
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J'ai bien envie de dormir dans ces barils de cachemire. |
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Il y a trois millions de kilos de fils dans leur entrepôt entièrement informatisé. |
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Nino Cerruti (qui travaille toujours ici mais que nous n'avons malheureusement pas vu) a faire peindre les murs de cette couleur durant la Seconde Guerre Mondiale, afin que la manufacture soit invisible du ciel et ne puisse être ciblée par les bombes. |
Rha mais la machine pour enlever la peau du lapin, affreux et tout les trucs en cuir d'élephant, etc >_< ! (Sinon le bâtiment de l'extérieur peind pour ne pas être reperé est assez laid dit donc, ça respire par la fraicheur et la joie de vivre cette ville !)
ReplyDeletePour leur défense... la peau est envoyé telle quelle, y'a pas de lapin direct là bas ! En plus au moment où j'ai demandé ça à la meuf, y'a une nana style bouchère-Dexter qui est passée, awkward. Mais ouais, faut mettre ses convictions de côté à chaque fois...
DeleteSinon, c'était pas dans Milan même (j'avais environ 6h de route par jour pour aller voir deux trucs), mais bon, c'est un peu pareil que Milan XD